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Prix de poésie des collégiens du Val-de-Marne
26 avril 2009

Collège Watteau Nogent-sur-Marne Atelier Gwenaëlle Stubbe

Collège Watteau Nogent-sur-Marne

Le cheval blanc n’a pas raconté grand-chose de son voyage. T’es-tu amusée ? Il y avait Domont et 2008. Je me suis amusée- Olivia a trouvé un cristal rouge dans la forêt - C’est tellement difficile de raconter ses vacances, tu ne trouves pas ? Le ciel est notre destin. Il reconnaît le pays. Dieu sait quand je voyagerai, jour de la révolution depuis ma lune de miel. Elle resta songeuse ma petite Kate, la fée. Nous lui avions toujours mis un masque.

Arthika


Je penchais des heures mortes sur la petite table et des signes et des souvenirs sont sortis de l’impasse. Les décombres de nourriture me touchaient et visaient la nuque. Un clown et une fée étaient dans une barque à côté d’un phare. Son destin s’accomplissait. Un jour étincelant, un ciel de cristal et des perles tombaient sur les grains de sable. Il faut que je fasse quelque chose ? Que faire ? J’étais morte.

Sarah M.


Bonsoir mon chou. Allons, ne pars pas demain matin. Ne fais pas un mouvement, ne t’amuse pas…Ciel. Sois carrément mystérieuse, fidèle, froide et fragile, détachée de tout au regard et fraîche, sans rancune. Prends le traitement du pharmacien qui est exquis. Demande aux clientes peu fortunées de faire du bruit avec la sonnette étincelante. Chaque jour, téléphoner par le train sur le flanc. Le récepteur répétait « encore la femme ». Qui sait ?

Sarah P.


Cela ne faisait qu’une fois. Combien nous connaissons particulièrement le toucher de nos proches. N’avons yeux que pour son aspect de marionnette et à des apparences purement fascinatoires si disposée qu’elle fût à être perle.

Nava


Son clown l’ennuie assidument à lui rendre masques, morte d’admiration. Surgissait-elle son intermittente infinie de la nuit dans le ciel ? Epouser sans rancune toujours ses lèvres, son ventre, son anneau de pelle (voir page 15), son pur souffle de vie était resté saturné, abandonné dans la lumière de la forêt en cristal, très abondante, mouvante, glacée dans les décombres. Christophe, Jeanne, comme nus dans la barque de la révolution. Dommage pour les volets.

Agnès


Attentivement un magnifique prince recyclait sa femme. « A plus !» C’est son destin le galop mouvementé. Reprise du flanc derrière un masque épais répétant d’émotion : elle allongeait la nuque du pied, cria la lumière ravie, l’œil naissait par les eaux, frappé d’un grain de sable placidement perle.

Adélie


Question de maux de cœur. Elle triomphe du cheval que j’avais recyclé dans la forêt. J’aurais sûrement dû insister…Mais bon…Les arbres de Kate n’intéressaient que nous. J’appelle ça scander « PAPA ».

Raphael


Que Robert ne soit qu’un élégant et un bel humain. Moi, je le trouve joliment bien, même quand il est dans la forêt. Merci. Comment a-t-il mis ses yeux derrière les arbres ?

Tu n’as pas l’air de vouloir mettre les yeux de ton côté, continue de rester toute seule à l’étrangère.

Jacqueline


Neuf mille crotales rouges ont filé pendant une révolution jusqu’à ce qu’ils jouent tout l’argent au jeu.

Matthieu


Ah ! Ciel ! Certes non…Ce petit décombre est trop gâté. Incapable. Intervalle, intermittent.

Vivement la femme, la forêt. Pour pas faire attention, pour la sourdine p31.

Le prince s’était perché sur le bras de la pâle effigie. L’ombre d’un sourire surgissait. Oh ! Des sourires ! La toile n’a pas bronché. Le flan d’un air méditatif, ses yeux noisette. Mamie, tu as une jolie figure étincelante. Tu trouves mon grain de sable ? D’un regard attentif. T’aimes ça les jolies figures. Papa, maman, Curtis, une vache. La vie ne soufflait mot. Polly est mouillé. Voilà la révolution de Mabel. Christophe qui se déshabille. Maman, Mabel, imprimé viendra. Polly allongé, Polly recyclé. Bonsoir la balançoire, brève.

Maya

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